“Dans notre maison pour les aveugles, les moines et les mendiants, Kertész est un « voir » frère”
– Paul Dermée (1886 – 1951)
Contraint de quitter son pays natal, la Hongrie pour la vie en France par les anti-Juifs de la persécution, André Kertész (2 juillet 1894 – 28 septembre 1985) est arrivé à New York sur une affectation pour la clé de voûte de l’agence en 1936. La guerre a empêché son retour à Paris, où il a prospéré. Il avait été un acteur majeur de la scène artistique Parisienne au cours de l’entre-deux-guerres. Mais à New York, Kertész fallait recommencer. L’état de nécessité, la persévérance et le talent lui a permis de gagner leur vie dans une terre étrange et finalement prospérer. Mais il ne se sentait pas à la maison. “Les gens ici ne pas regarder les choses dans une manière romantique,” dit-il en 1985, ”mais je suis toujours à la recherche; la recherche de retour, et à de nouvelles choses, trop. Je n’abandonne pas… je n’ai jamais donner vers le haut. C’est la seule façon de donner un peu de couleur à la vie.”
Kertész a été naturalisé, le 3 février 1944. En 1952, lui et son épouse, Elizabeth s’installe au 12e étage appartement près de Washington Square Park. À l’aide d’un téléobjectif, il prenait des photos des scènes à l’extérieur de sa fenêtre. Il serait continuer à photographier le quotidien vues ci-dessous, les formes, les ombres et les gens que vous ne savez jamais mais il suffit de voir autour jusqu’à sa mort en 1985. Le point de vue de son étrange casseroles de l’Université de New York à la Rivière Hudson, les Tours du World Trade Center le marquage de son milieu. Et ce qu’il montre est solitaire, l’activité du secteur privé, l’accent sur les individus dans le flux de la vie bien remplie. C’est tout lyriques et poétiques. Mais pouvez-vous détecter une trace d’amertume et de nostalgie dans Kertész du reclus de la distance à partir de sujets qu’il montre dans l’isolement d’un œil de dieu de point de vue? C’est son désir d’appartenir, le photographe de la quintessence de l’amour de la vie, qui font de ces photos tellement captivante.
“À chaque fois qu’André Kertész l’obturateur de l’clics, je sens son cœur battre”
– Henri Cartier-Bresson
Par:Bruce Silverstein Galerie , “L’équilibrage de l’acteur, André Kertész: 1912-1982” au Jeu de Paume