Footage> Collaboration> Collaboration en France> Collaborateur français Jacques Doriot à Saint-Lô après les bombardements alliés du 5 janvier 2021 Publié par Timon Aucun commentaire Collaborateur français Jacques Doriot à Saint-Lô après les bombardements alliés. Juillet 1944

Collaborateur français Jacques Doriot (portant des lunettes) à Saint-Lô après les bombardements alliés.

Jacques Doriot (Jaques Dariot; 26/09/1898 – 22/02/1945) est un homme politique français. Vétéran de la Première Guerre mondiale. De 1921 à 1923 était le représentant du Komsomol français à Moscou. Il a suivi une formation politique en URSS, a écrit du matériel de propagande. J'ai eu une rencontre personnelle avec Lénine. En 1924 – 1934. était membre du Politburo du Parti communiste français. En raison de désaccords avec le chef du PCF, Maurice Torez, il a été exclu de ses listes.

En 1936, avec le soutien de la Bank of Worms, il crée le Parti populaire français (PFF), qui est en fait un parti fasciste. Après l'entrée en guerre de la France, le parti a été interdit, mais rétabli après la défaite et l'occupation de la France par l'Allemagne. Le PPF, recréé dans un format fortement tronqué, est en fait devenu une structure subsidiaire des autorités d'occupation. L'idéologie du parti coïncidait pleinement avec le NSDAP et perdit ses caractéristiques nationales. Les militants du PPF ont rejoint la lutte contre la Résistance et ont collaboré avec la Gestapo. Doriot est allé dans le cadre de la Légion anti-bolchevique des volontaires français (Légion des Volontaires Français contre le Bolchévisme) sur le front de l'Est, y est resté pendant environ un an et demi, et a pris part à des batailles. A reçu la croix de fer. En juillet 1944, la Légion est dissoute, Doriot reste officier dans la Wehrmacht jusqu'en août 1944.

Peu de temps après l'ouverture du Second Front, Doriot a déménagé en Allemagne avec d'autres collaborateurs de premier plan. Il a élaboré des plans pour la formation d'une nouvelle légion française pour la guerre anticommuniste en France, a planifié la création d'un «État populaire» basé sur le programme initial du PPF. Il a accusé le général de Gaulle de «collaboration» et de service à Churchill. En septembre 1944, Doriot a eu une réunion avec Hitler. 6 janvier 1945 Doriot annonce la création du « Comité pour la libération de la France »

Doriot est mort le 22 février 1945 sur la route de Mainau à Siegmaringen lorsque sa voiture a essuyé des tirs de chasseurs alliés.

Source de la photo: audiovis.nac.gov.pl