Ces images de protester et de faire la fête à Paris et à Londres ont été rassemblées pour une exposition au Musée National de l’Histoire de l’Immigration. Ils rappellent le mélange puissant de la migration, de la musique, la lutte contre le racisme et l’activisme politique qui a transformé les cultures de la France et la grande-Bretagne depuis le début des années 1960.
Depuis le début des années 1960 à la fin des années 1980, plusieurs tendances musicales liées aux flux migratoires de la transformée de Paris et de Londres en multiculturelle capitales… L’exposition montre comment plusieurs générations d’immigrants, dans ces deux anciennes puissances coloniales, s’empara de la musique pour faire de leurs droits égaux, de revendiquer une place dans l’espace public et de contribuer à des transformations urbaines aspects économiques et culturels des deux pays.
La liste de lecture est un pirate, un mélange composite de notables tels que: le Poly Styrène reggae-punk, Manu Dibango est le makossa, Cheikha Rimitti vintage rai, Desmond Dekker du ska, Soul II Soul R & B, Salif Keïta du Mandingue, Millie Petit beat, Noura de la chanson Algérienne, Rachid Taha punk sans frontières, Asian Dub Foundation Asian underground, Papa Wemba la rumba rock, Aswad du reggae roots, Dahmane El Harrachi du chaâbi, Linton Kwesi Johnson, du dub, de la poésie, Kassav du zouk, Neneh Cherry électro-rap, Alpha Blondy afro-reggae, Bob Marley légendaire du reggae, de Khaled rai moderne, mixte, métal, rock Negresses Vertes, Vigon du rhythm’n’blues, King Sunny Ade de la juju music …
Via: Musée National de l’Histoire de l’Immigration