Un soldat chinois et les jeunes filles, qui se trouvaient en japonais militaire bordelais («station de consolation»).
Selon la source, les filles — femmes japonaises. À côté d’un soldat de la jeune fille assise que l’on appelle военнопленной (probablement коллаборационистка). Dans les bordels pour les soldats japonais pendant la guerre étaient, selon diverses estimations, de 50 à 400 milliers de femmes de la Chine, de la Corée et d’autres pays.
Source: « »Unsere Opfer zählen nicht… » Die dritte Welt im Zweiten Weltkrieg ». Assoziation A. Berlin/Hambourg, 2005.