Ce que les artistes font toute la journée? Et est à la recherche du nouveau et d’excitant surfaite? Vous betcha il est. Vive la monotonie et de l’ennui, ou plus exactement, le solitaire poursuite de la réduire. Nous allons profiter de l’œuvre d’on Kawara. Mais avant de lui quelques mots sur les plaisirs de ne rien faire de spécial.
Dans La Conquête du Bonheur, Bertrand Russell (18 Mai 1872–2 février 1970) offert: “Nous sommes moins ennuyé que nos ancêtres étaient des, mais nous sommes plus peur de l’ennui. Nous avons appris à connaître, ou plutôt à croire, que l’ennui ne fait pas partie de l’naturelles sort de l’homme, mais peut être évitée par une assez forte poursuite de l’excitation.”
Vantant les pouvoirs d’un “fructueuses monotonie”, Russell a averti qu’une “génération qui ne peut pas supporter l’ennui sera une génération de petits hommes, des hommes indûment divorcé de la lenteur des processus de la nature, des hommes en qui chaque impulsion vitale lentement garrot, comme si elles étaient des fleurs coupées dans un vase.” Il a écrit que, dans les années 1930. Pas beaucoup de changement. “Tous les maux de l’humanité”, écrivait Blaise Pascal en 1654, “de la tige de l’homme de l’incapacité à rester assis tranquillement dans une chambre seul.” L’ennui est l’est “le produit des déchets de choix”, a noté AA Gill en 2012.
Ce qui nous amène à l’artiste Japonais on Kawara (24 décembre 1932 – 10 juillet 2014), dont le travail englobe une obsession avec le temps. Entre 1968 et 1979, on Kawara a créé la série, je me Suis levé, dans lequel il a envoyé des cartes postales aux amis et à la famille, soulignant que son temps de se lever, la date, le lieu de résidence et le nom et l’adresse du destinataire. L’ordinaire, quotidien non-événement de sortir du lit est devenu quelque chose de routine et de sens. Il avait de voyage largement en 1973, Kawara visité 28 villes. Les cartes postales lui ont donné un sens de la constance et de l’objet.
Anne Lamott notes en Points de suture: Un Manuel de Sens, de l’Espoir et de la Réparation:
Voici le véritable secret de la vie: Nous avons surtout tout faire plus et plus. Le matin, nous laissons les chiens, faire du café, lire le journal, d’aider celui qui est autour de vous préparer pour la journée. Nous faisons notre travail. Dans l’après-midi, si nous sommes de gauche, nous arrivons à la maison, mettre nos clés et cartables, let the dogs out, prendre constrictive vêtements, faire boire un verre ou mettre de l’eau sur le thé, pain grillé, les restes de peu de scone. J’aime le rituel et la répétition. Sans eux, je serais un ballon avec une fuite lente.
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Rituels quotidiens, en particulier les promenades, même les marches forcées à travers le quartier, et les horaires, si les travaux ou les repas avec les non-terrible les gens, peut-être les nœuds, vous tenir quand vous n’avez plus d’une corde.