En novembre 1922, Albert Einstein (14 Mars 1879–le 18 avril 1955) était au Japon pour donner une série de conférences. Il n’était pas longtemps après qu’il avait gagné le Prix Nobel.
Rester à l’Impérial de Tokyo Hotel, Einstein a été accueilli par un messager qui est venu à sa chambre pour livrer un message.
Einstein avait rien de la monnaie locale sur lui, alors il prit une plume et écrivit une note sur une feuille de hôtel de la papeterie. “Stilles bescheidenes Leben gibt mehr Glueck sla erfolgreiches Streben, verbunden mit bestaendiger Unruhe”, écrit-il. (Traduction: Un calme et modeste, la vie apporte plus de bonheur que la poursuite de la réussite, combiné avec une constante de l’agitation).
Sur une deuxième feuille, Einstein a écrit: “Wo ein Wille ist, da ist auch ein Weg.” (Où il ya une volonté il ya un chemin.)
Il a donné deux lettres pour le messager et lui dit que s’il a de la chance, ils deviennent précieuses. Le 24 octobre, le courrier s ‘neveu vendu les lettres aux enchères pour $1,56 m.
Connaissait-il les lettres vaudrait une fortune? Il est douteux. Mais Einstein a donné beaucoup de pensée à l’interconnexion de toutes choses, écrit en 1930:
Comment est étrange, c’est le lot de nous, mortels!!! Chacun de nous est ici pour un bref séjour; pour quelle raison il ne sait pas, si parfois, il pense qu’il le perçoit. Mais sans une réflexion approfondie l’on sait de la vie quotidienne qu’il en existe pour d’autres personnes — tout d’abord pour ceux dont le sourire et le bien-être de notre propre bonheur est entièrement à charge, et puis pour les gens, inconnus de nous, dont les destins nous sommes liés par des liens de sympathie.
Une centaine de fois chaque jour je me rappelle que ma intérieure et extérieure de la vie, sont fondées sur le travail des autres hommes, vivants et les morts, et que je doit exercer moi-même afin de donner dans la même mesure que j’ai reçu et reçois toujours. Je suis fortement attirée vers une frugalité de la vie et je suis souvent oppressant conscient que je suis en absorbant une quantité excessive de la force de travail de mes confrères hommes. Je considère la classe des distinctions injustifiées et, en dernier ressort, basée sur la force. Je crois aussi qu’un simple et sans prétention, la vie est bonne pour tout le monde, physiquement et mentalement.
Via Les Gagnants