Footage> Collaboration> Collaboration en France> Oberleutenant du 638th Wehrmacht Grenadier Regiment Jacques Doriot à son bureau 28 janvier 2021 Publié par ridalaw Pas de commentaire Oberleutenant du 638th Grenadier Regiment de la Wehrmacht Jacques Doriot à son bureau. Mai 1944

Oberleutenant du 638e Régiment de Grenadiers Renforcés (Français) de la Wehrmacht (« Légion des Volontaires Français contre le Bolchévisme » – Légion des Volontaires Français contre le Bolchévisme, LVF) Jacques Doriot (1898-1945) lit à son bureau.

Jacques Doriot (26/09/1898 – 22/02/1945) est un homme politique français. Vétéran de la Première Guerre mondiale. De 1921 à 1923 était le représentant du Komsomol français à Moscou. Il a suivi une formation politique en URSS, a écrit du matériel de propagande. J'ai eu une rencontre personnelle avec Lénine. En 1924 – 1934. était membre du Politburo du Parti communiste français. En raison de désaccords avec le chef du PCF, Maurice Torez, il a été exclu de ses listes.

En 1936, avec le soutien de la Bank of Worms, il crée le Parti populaire français (PFF), qui est en fait un parti fasciste. Après l'entrée en guerre de la France, le parti a été interdit, mais rétabli après la défaite et l'occupation de la France par l'Allemagne. Le PPF, recréé dans un format fortement tronqué, est en fait devenu une structure subsidiaire des autorités d'occupation. L'idéologie du parti coïncidait complètement avec le NSDAP et perdait ses traits nationaux. Les militants du PPF ont rejoint la lutte contre la Résistance et ont collaboré avec la Gestapo. Doriot est allé dans le cadre de la Légion anti-bolchevique des volontaires français (Légion des Volontaires Français contre le Bolchévisme) sur le front de l'Est, y est resté pendant environ un an et demi, et a pris part à des batailles. A reçu la croix de fer. En juillet 1944, la Légion est dissoute, Doriot reste officier dans la Wehrmacht jusqu'en août 1944.

Peu de temps après l'ouverture du Second Front, Doriot a déménagé en Allemagne avec d'autres collaborateurs de premier plan. Il a élaboré des plans pour la formation d'une nouvelle légion française pour la guerre anticommuniste en France, a planifié la création d'un «État populaire» basé sur le programme initial du PPF. Il a accusé le général de Gaulle de «collaboration» et de service à Churchill. En septembre 1944, Doriot a eu une réunion avec Hitler. 6 janvier 1945 Doriot annonce la création du « Comité pour la libération de la France »

Doriot est mort le 22 février 1945 sur la route de Mainau à Siegmaringen lorsque sa voiture a essuyé des tirs de chasseurs alliés.

Source: audiovis.nac.gov.pl.